On parle des punches invisibles de Manny Pacquiao !
Ce boxeur est la nouvelle terreur des super-plumes. Il vient de dominer largement Oscar Larios il y a quelques jours.
Ce boxeur philippin a une particularité : il vient de la catégorie des mouches (catégorie de Brahim Asloum, 50,802kg) et boxe donc maintenant 5 catégories au-dessus (9kg environ).
Son efficacité vient surtout du fait qu’il a conservé dans sa nouvelle catégorie une vitesse déjà exceptionnelle qu’il avait avant. La vitesse de ses combinaisons de punches a défait les meilleurs : Marco Antonio Barrera, Erik Morales, Juan Manuel Marquez.
Ses adversaires n’ont tout simplement pas le temps de réagir devant la vitesse de certaines combinaisons : la vitesse est un des deux éléments essentiels (avec la force) du puncher.
La vitesse de bras doit se travailler systématiquement, ce que peu de boxeurs font : en fait la plupart travaillent la vitesse de bras à l’approche d’un combat ! C’est à mon avis un peu tard pour intégrer à sa boxe un éventuel gain de vitesse.
La vitesse de bras doit se travailler sur le court et le long terme, des exercices spécifiques devraient être intégrés dans l’entraînement chaque semaine.
Ce type de travail doit être très qualitatif et ne dure généralement pas longtemps : 5 à 15 minutes. Son efficacité réside dans le fait qu’il faut le répéter souvent.
A titre d’exemple : prenez une combinaison de 2 ou 3 punches et faites une série de 10 secondes aussi vite que possible (attention de conserver une bonne technique), 4 à 5 séries et récupération complète entre celles-ci.
Je développe un programme pour la vitesse de bras en détail dans Gladiator Training : ce type de programme peut être le lien manquant de votre préparation pour un tout autre niveau de performance : Gladiator Training.
Ce boxeur philippin a une particularité : il vient de la catégorie des mouches (catégorie de Brahim Asloum, 50,802kg) et boxe donc maintenant 5 catégories au-dessus (9kg environ).
Son efficacité vient surtout du fait qu’il a conservé dans sa nouvelle catégorie une vitesse déjà exceptionnelle qu’il avait avant. La vitesse de ses combinaisons de punches a défait les meilleurs : Marco Antonio Barrera, Erik Morales, Juan Manuel Marquez.
Ses adversaires n’ont tout simplement pas le temps de réagir devant la vitesse de certaines combinaisons : la vitesse est un des deux éléments essentiels (avec la force) du puncher.
La vitesse de bras doit se travailler systématiquement, ce que peu de boxeurs font : en fait la plupart travaillent la vitesse de bras à l’approche d’un combat ! C’est à mon avis un peu tard pour intégrer à sa boxe un éventuel gain de vitesse.
La vitesse de bras doit se travailler sur le court et le long terme, des exercices spécifiques devraient être intégrés dans l’entraînement chaque semaine.
Ce type de travail doit être très qualitatif et ne dure généralement pas longtemps : 5 à 15 minutes. Son efficacité réside dans le fait qu’il faut le répéter souvent.
A titre d’exemple : prenez une combinaison de 2 ou 3 punches et faites une série de 10 secondes aussi vite que possible (attention de conserver une bonne technique), 4 à 5 séries et récupération complète entre celles-ci.
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